Entourée de magnifiques demeures et de nombreux restaurants, c'est un de lieux les plus animés de la ville. Toros de fuego concerts confèrent à la place un air de fête.
Sur la place près du port, le point de rencontre mais là c'est la fin de la jounée en hiver.
Le port fut construit au XIIe siècle. Il abrite une flotte de bateaux en bois aux couleurs vives qui lui confèrent son côté pittoresque.
La pêche à la baleine, à la morue, à la sardine et au thon ont fait la réputation des pêcheurs basques. En 1950, Saint-Jean-de-Luz est le premier port sardinier et thonier de France. Une des attractions du port est de voir arriver tôt ( 6 ou 7h ) le matin les bateaux chargés de thons de très grande taille pour les vendre à la criée.
En face sur cette photo se trouve la petite ville de Ciboure avec la maison du musicien Maurice Ravel.
Le port donne toujours une certaine animation à toute heure de la journée.
A l'époque de sa splendeur (du XVIe au début du XIXe siècle) cette petite ville fut habitée par de grands personnages fortunés qui lui léguèrent de magnifiques édifices tels l'hotel particulier "Pocoenia" ou la "maison de Louis XIV"... Où ce dernier résida lorsqu'il vint épouser Marie-Thérèse d'Espagne, le 9 juin 1660.
A marée basse certains bateaux touchent le fond ce qui démontre la faible profondeur du port.
La pêche joue un rôle très important dans l'économie de cette commune. La ville fut ravagée par de terribles raz de marées (1680, 1749 et 1782) et contribua à la construction des digues en 1827.
Arrivée au port d’un bateau de pêche.
Ciboure fut le village d'artistes comme Maurice Ravel, auteur du fameux " Boléro", l'un des plus grands compositeurs contemporains. Sur le quai, sa maison natale arbore une superbe façade en pierre de taille ( au fond à gauche de la photo ). De nombreux peintres tel que Ramiro Arrue, Gustave Collin firent de ce port et de ses ruelles, un atelier de plein air.
Sur la droite de la plage au fond et en haut se trouve un chemin cotier qui vous permet de suivre le bord de mer jusqu’à Biarritz. Ce chemin vous permet de voir les falaises magnifiques travaillées par la mer et les vents qui sont assez forts en en période d’hiver.Un conseil en hiver ou en éte ne ratez pas cette ballade.
Voici une autre vision des falaises avec au fond Biarritz
Voici l’ambiance dégagée dans les falaises par temps de pluie. Une couleur singulière et une brume se dégage et imprime une atmosphère unique. Le lieu reste dangereux en cas de fort vent.
Par temps de pluie le port de Ciboure est baigné par une lumière magique.
Voici la vision du port de Ciboure par mauvais temps depuis le chemin qui se trouve au fond de la plage de St Jean de Luz.
Construit en 1834, haut de 73 mètres et avec 248 marches le phare que vous pouvez voir au fond est aussi la limite séparant la cote sablonneuse des Landes de la cote rocheuse du Pays Basque.
Le port est très bien protégé des tempêtes, mais parfois lorsque la mer est très forte certains accès pour les piétons sont fermés.
Ici la vision du port bien protégé de la pleine mer dégage une atmosphère très particulière lorsque la mer est forte.
La Villa Belza (1880-1895) est située en face du trou du diable, entre la côte des Basques et le port. Elle offre à ses occupants une vue magnifique. Mais, à cause de sa proximité avec l'Océan, les vents et le sel la rongent; elle s'abîme et faillit tomber en ruine à cause de ses propriétaires peu intéressés à la maintenir en état. Restaurée depuis, elle est divisée en plusieurs appartements.
Là au fond commence la promenade qui longe la plage de la Concha ( coque ) qui vous amène jusqu'à Ondareta et le village de Orio au pied du Monte Igueldo, environs 3 km. Vous pouvez aussi prendre un bus qui vous dépose au pied. Mais le mieux est de d’effectuer la promenade en longeant par le bord de la baie, vous rencontrerez plusieurs constructions datant de l’époque où San Sebastian était une ville balnéaire.
La baie de la Concha, c’est le lieu emblématique de San Sebastian. Cette superbe baie, fermée par les reliefs du mont Urgull, de l’île Santa Clara et du mont Igueldo, donne à la ville des airs de Rio Janeiro. Pendant la journée de la gigantesque plage ( 3 km ) et admirez la vue en haut des deux monts dans lesquels ont été installés des jardins, un musée et un parc d’attractions.
L’île de Santa Clara à gauche.
Au pied du Monte de Urgull se trouve le port de pêche avec quelques boutiques et des petits restaurants très souvent avec des menus à base de poisson. En suite en allant vers la gauche suivre le chemin qui méne à l'aquarium suivre le chemin en contounant le Monte Urgull jusqu'au pont de l'aquarium de l’embouchure du fleuve Urumea et la mer, environs 3 km.
Le port de pêche avec sur la droite les petits restaurants bien typiques. Il faut aussi savoir que le port comporte une partie pour les bateaux de commerce qui est important.
Voici l’embouchure du fleuve Urumea qui par mer forte les houles arrivent au 3e étage des immeubles. Ayant vécu à San Seabastien à l’age de 9 ans, je me souviens encore du jour ou m’approchant du bord, une houle m’importa me traînant à plus de 30 mètres. Cet endroit est un lieu de jeux pour les gamins par mer forte. A L’époque il y a avait un cinéma, je me souviens encore, Le Miramar et très souvent il été fermé à cause des vagues qui inondaient la sale.
Voici le contacte de l'eau de la mer et l'eau du fleuve Urumea. Un spectacle magique par mer forte.